des bars et des bouquins...

oui là en ce moment même je suis en train de réagir.

moi je suis en train de me demander comment réagir... dis-moi manue, tu te gares où quand tu montes sur paris ?

la réaction à adopter est simple: courez le lire!

si vous voulez plus de détails, demandez à abda de vous en servir un bon petit passage (je peux pas m'y coller, c'est elle qu'à le livre...)

latulu et lireli qu'on va vous appeler vous deux

c'est malin donk, ça n'a rien à voir avec la choucroute ta question stationnement... Je me gare dans un boxe près de mon ancien appart, en général, surtout si j'ai des choses à faire dans le 18è en arrivant, ou des coups à boire. Si en revanche je rentre direc dans le 17è, je fais comme ma coloc, je vais me garer à Neuilly parce qu'il y a du stationnement gratuit et que c'est po loin (et assez sûr hein comme quartier, là-bas personne ne voudrait de mon auto).
Voilà.
Et quant au bouquin, d'abord je finis 100 ans de solitude.
Après on verra c'que j'y lis.

aaaah, c'est super 100 ans de solitude

ouais, donk, c quoi ces hors sujets, là? attends que je prévienne lemodo et tu vasvoir!

- en tant que biologiste, j'ai ma théorie sur l'imagination. il me paraît évident que la peur - la peur que provoque un grand bruit, le vertige, et cette faculté même d'apprendre à avoir peur - est une chose à laquelle nous nous sommes accoutumés au fil des siècles. c'est devenu un mécanisme de survie. tout comme l'imagination. certains pensent qu'autrefois, au temps des cavernes, c'était le plus balèse du clan qui se tapait les gonzesses. c'est peut-être vrai, mais en partie seulement, car la force physique n'explique pas totalement comment l'espece humaine a pu bâtir des civilisations. moi je crois qu'il y a toujours eu un rêveur un peu rachitique assis près du feu de camp et c'est celui-là qui était capable d'imaginer les dangers, de puiser dans son imagination pour penser le futur et trouver des solutions aux problèmes. c'est ainsi que nous avons survécu et passé nos gènes de génération en génération. pendant que les grands hominidés arrêtaient de courir une fois arrivés au-dessus du vide ou essayaient de trucider un mastodonte à l'aide d'un bâton, il y avait le rêveur assis en retrait. et il se disait "hé les gars, ça pourrait marcher votre truc , mais ce serait mieux si c'était le mastodonte qui plongeait du haut de la falaise." et c'est le même rêveur qui plus tard se tapait les nanas du clan restées veuves à cause des conneries de leurs balèses de maris.
- ce serait donc la dictature des pauvres types? dit val en souriant.




(le lézard lubrique de melancholy cove, christopher moore, folio policier)

la dictature des pauvres types... tu m'indiqueras le chemin